Douce mémoire
Douce mémoire, en plaisir consommée.
O siècle heureux qui cause tel savoir.
La fermeté de nous deux tant aimée,
Qui à nos maux a su si bien pourvoir;
Or maintenant, a perdu son pouvoir.
Rompant le but de ma seule espérance,
Servant d'exemple à tous piteux à voir.
Fini le bien, le mal soudain commence.
Texte: François 1er
Musique: Pierre Sandrin